message de lhörn
Lhörn était sortit, il ne voulait pas que ses deux furets servent de kebab, en cas de grabuge, et ils s’en allèrent fureter comme à leur habitude dans les environs.
Ses deux acolytes l’avaient accompagnés en silence, mais bientôt quelque chose se trâmait, les bruits étaient inhabituels. Alors il s’avanca à la hauteur d’une colline, et vit un Dn aparement plus allumé que d’ordinaire s’en prendre à un gars.
Sa réaction se fit rapide. Ordonnant à ses compagnons de le laisser seul, il prit sont mousquet et l’arma. Il ne servirait à rien de tourner le dos au problème, au point où il en était.
Un tir de sommation retentit.
Le DN se retrourna et vit un homme armé d’un mousquet, au canon fumant. Pas la peine de chercher plus loin, me voila. Viens te battre qu’on en finisse toi ou un autre… puisque c’est toi qui te présente à moi …
Lhörn posa son arme et tira de ses poches une masse et un tournevis cruciforme et se mit à dévaler la pente à toute vitesse.
Alors qu’il s’approchait il vit le facies de l’homme près à encaisser le choc. Il se mit à faire chanter son arme sans réellement me viser ou peut être ne savait-il pas déterminer exactement où je me trouvais dans son état d’ébriétée avancée.
Le combat s’engagea, mais Fostor attaque et esquive s’enchaînèrent, mais je ne combattait pas vraiment, faisant suffisamment pour qu’il finisse par s’emporter et qu’il prive ainsi Sioban du plaisir qu’elle comptait s’offrir.
Derrière moi retentit un cri et je vis Light capturé par une silhouette féminine, il avait du en être de même pour kriss, je voulus me désengager pour lui porter secours, ils n’y étaient pour rien dans cette histoire, et alors que je détournais mon attention je fut renversé , plaqué au sol et une douleur vive crissa dans ma main immobilisée par le tournevis que le DN venait de me planter. D’un coup de coude bien placé je réussit à me dégager. Et, alors que je me relevais pour m’éloigner sous la menace d’une contre attaque plus virulente du Dn à peine contusionné, arriva une camionette bondée se déverser avec à leur tête Sioban.
Je me tins , aussi droit que possible.
Résigné de cette défaite, je fis une réverrence, un sourire aux lèvres.
_Madame la marquise voilà qui est sans surprise.
Mais croyez-vous vraiment que si peu de gens suffisent ? *rire*
Ma main me lançait terriblement, Fostor se tenait debout derrière moi tenant fermement ma masse, près à obéir aux ordres.
_Allez faites-en à votre guise, mais libérez mes compagnons car là il y à méprise.
Elle intima l’ordre de me ficeler, de me réduire au silence, et je finis dans les bras de morphée. Un rêve étrange se dessina , celui d’un carton fermé, telle une boîte de pandore voltigeant et finissant par m’avaler.
Je me réveilla en sursaut.